« La cabane » par Olivier, 2016
Olivier : Un des premiers trucs que tu vois quand tu arrives à Mimir et que tu ne connais pas très bien, tu débarques et tu fais :
« Héhé ! Il y a une cabane dans un arbre ! »
Et ça te rappelle un peu l’enfance, quand tu adorais construire des cabanes.
(…)

« Le poème » par Olivier, 2016
[Le poème], c’est aussi une des premières choses que tu vois, quand tu arrives. Quand tu es dans la cour, c’est ce poème écrit en espagnol. Je ne parle pas un mot d’espagnol, mais je me rappelle qu’un jour, quelqu’un me l’avait traduit et que j’avais trouvé ça joli.
(…)
J’étais dans la cour et je me disais : « Qu’est-ce qui moi, quand je pense à cet endroit, me frappe, ce sont ces deux endroits :
c’est la cabane et le poème au-dessus de la porte. »
(…)
Il y a le mot libre, « libre quiero », je sais vaguement que ça veut dire « aimer ». Je vois : « pas de dieu », « ni de dios ». Ça me parle, même si je ne comprends pas.
L’important ce n’est pas de comprendre, c’est que c’est là et qu’à chaque fois qu’on faisait des soirées, il y avait forcément un moment où tu voyais des gens en train de lever la tête et de regarder ce truc.