
« Le chalet Mimir », Guillaume, 2016
Guillaume : J’étais revenu à Mimir. Je ne sais pas pourquoi j’ai pris celle-ci. Il devait y avoir un petit truc en bas. Ce petit truc qui pend, qui fait un peu style, il vient d’Istanbul, ou de je ne sais pas quel pays. Il y a un volet qui est peint. En fait, ce sont les mêmes volets que tu trouves dans les chalets. Le Z dessus, ce ne sont pas du tout les mêmes volets qu’on a ici. Le volet de base, c’est avec des planches. Tous les volets ne sont pas pareils. Il y a les volets avec les petites personnes dedans.
Il y a les volets qui sont en face. Ça ce sont des volets en général, qu’on fait dans les chalets, parce qu’on a du bois, on a des planches : tac-tac-tac, tu as juste à aligner des planches. Tu en cloues trois et ça te fait un volet. Ça fait un peu « le chalet Mimir » (nous rions). Ben, c’est vrai, [si tu avais] des volets normaux, du genre comme on a, avec juste les petites fentes les unes au-dessus des autres, ça ne donnerait pas du tout le même effet. On se croirait vraiment sur une rue.
Là, ces petits volets là, tu te crois dans un chalet.

« On est vraiment à la campagne », Guillaume, 2016
Guillaume : (…) J’ai l’impression qu’elle est prise du premier étage, depuis la bibliothèque. On voit Mimir, mais on voit bien l’intérieur d’un chalet. Tu vires ces bâtiments au fond et tu mets du ciel. Tu fais la même maison, elle peut être dans la montagne. C’est ça qui est cool (…) dans la maison. C’est que ce n’est pas ça. Ça, tu le vois pas en ville. Ça dit quelque chose. Ça, tu vois vraiment dans la campagne.