La cour, vue du dessus
Nono : C’est la vue de dessus avec Renaud qui va dans la cave. Cette cour là : joyeux bordel quand même hein ! Il s’en est passé des trucs !
J’aimais bien aussi me mettre là, pour voir, quand il y avait des soirées. Me mettre là et puis juste observer les scènes qui pouvaient se passer. C’était des chouettes moments, plutôt agréables. Je pouvais y rester quelques temps, juste à observer des scènes de vie.
Ophélie : Tu as un souvenir comme ça, particulier ?
Nono : On faisait de la cuisine. Je me rappelle, j’étais avec Nono, on faisait de la cuisine. Je crois que c’était quand la maison allait se faire expulser. Il y a Renaud qui parlait avec des journalistes et nous, on avait fait des gâteaux, des tartes, plein de trucs. Et souvent je regardais comme ça, par (…) la fenêtre, (…) le moment où on a accueilli plein de gens pour faire parler (…) de la maison. Il y avait des journalistes ; il y avait du monde ce jour là… Et puis il faisait beau…
Ah ! Les toilettes hommes !
Ah ! Les toilettes hommes, très utiles (elle rit) ! Très bien là, les toilettes sèches qu’il y avait. C’était cool. Sauf l’odeur très forte. Beh bon, c’est des toilettes hein !…
Et puis la carcasse de vélo…
Ophélie : C’est où ça ?
Nono : C’est derrière dans la cour,dans la cour extérieure. Tu sais, là t’as la porte du garage…
J’aime bien c’te photo là ! J’aime bien ces tas de roues là, ce bordel là. C’est quand même un sacré joyeux bordel hein !
Ben voilà, en parlant de bordel…
(…) C’est comme si tu pouvais y trouver tout plein de trucs ! (…) Il y a plein de choses, tout le temps. Bon, après, là, plus encore, parce que tout est sorti, tout est mis à jour. Ça fait un gros bric-à-brac, genre d’Emmaüs je trouve (…).
J’avais envie de montrer un peu ça : gros joyeux bordel à Mimir !